Les plus beaux fac-similés du monde

Les Évangiles de Charles d'Angoulême

Ce manuscrit est un Evangile, c'est à dire, un livre contenant le texte et les images liées à des textes bibliques de Matthieu, Marc, Luc et Jean. Toutefois, il a la taille et une partie de l'iconographie des livres d'heures. Cette question est importante, car l'Inquisition interdisait tout fragment de textes bibliques pour tous ceux qui n'appartenaient pas au clergé. Très peu d'exemplaires ont survécu à ces siècles, et c'est l'un des rares exemples de ce genre. Les Évangiles de Charles d'Angoulême ont été réalisées par différents artistes de l'école française du début du XVIe siècle. À cette époque, la Renaissance est déjà le cas en Italie, et le reste de l'Europe commencent à faire de leurs innovations. Le fait d'avoir été composée dans cette période de transition qui explique que les 145 belles miniatures de ce manuscrit est de capturer l'évolution du style gothique, plus plate et abstraite, à la Renaissance, plus naturaliste et subtile. Ceci est significatif dans le cas de la décoration florale, qui disparaît pratiquement au détriment d'autres motifs ornementaux.

Souhaitez-voux davantage d'information sur cet ouvrage? S'il vous plaît écrivez à: contacto@dbibliofilia.com

L'Atlas d'Abraham Ortelius

Le Theatrum Orbis Terrarum de l'érudit et carthographe flamand Abraham Ortelius (1527-1598) est considéré le premier Atlas véritable de l'Histoire, puisque c'est la première collection systèmique et compréhensive de cartes de style uniforme. Sur le revers de chaque carte, il inclut une description de chacune des régions et des pays ainsi que des données sur leur climat, gastronomie, moeurs, etc.
Les érudits contemporains d'Ortelius comme Gerardus Mercator ou Georg Braun et beaucoup d'autres firent l'éloge du Theatrum pour son extraordinaire exactitude et commencèrent à imiter son format. C'est ainsi que la carthographie embrassa le concept de l'«Atlas». En 1575 Felipe II d'Espagne (à qui Ortelius dédicace son ouvrage), le nomma «Cosmographe Royal de sa Majesté». On affirme que ce roi avait toujours à la portée de la main son propre exemplaire de l'Atlas d'Ortelius, peut-être en cherchant de nouveaux lieux à conquérir, ou peut-être pour mieux connaître ses vastes domaines, beaucoup d´entre lesquels il ne put les connaître personnellement.

Souhaitez-voux davantage d'information sur cet ouvrage? S'il vous plaît écrivez à: contacto@dbibliofilia.com

La Légende de la Sainte Face

Parmi les maintes légendes qui circulèrent dans l´Europe médiévale il ressort la «Légende de S. Voult de Luques», qui narre la miraculeuse arrivée aux côtes italiennes dans un bateau sans équipage qui portait à bord une statue avec le visage du Christ. La légende raconte que la sculpture fut sculptée par Nicomède, l´un des protagonistes de la descente de la Croix de Jésus. Pour ne pas être un sculpteur expert, il n´aurait pas été capable de donner au visage la forme souhaitée. Fatigué et désillusionné, il s´endormit sans avoir terminé le travail ; mais à son réveil il l´aurait trouvé miraculeusement terminée par la main d´un ange. n croit que cette iconographie fut apportée en Catalogne par les soldats italiens qui arrivèrent en 1114 pour aider le comte de Barcelone Ramón Berenguer III dans sa conquête aux Baléares. Pour cette raison, dans la Catalogne romane ce fut une statue très répandue et vénérée.

La première miniature du luxueux manuscrit conservé dans la Bibliothèque Apostolique Vaticane, montre un homme et une femme agenouillés face à la statue, sans aucun doute les propriétaites d'un si beau codex.

Souhaitez-voux davantage d'information sur cet ouvrage? S'il vous plaît écrivez à: contacto@dbibliofilia.com

La Grand Passion d'Alberto Durero

Le premier voyage d'Alber Durero en Italie lui a permis d'assimiler les principes de l'éveil artistique de la Renaissance italienne de leur intérêt pour la géométrie et les proportions mathématiques. À son retour à Nuremberg, Durero a commencé une étude sérieuse de mathématiques et des proportions humaines. La maîtrise de la gravure sur bois et gravure fait sa gloire en dehors. Il créa et produit un grand nombre d'œuvres. Bien que la question est toujours la technique conventionnelle est nouvelle. Les traits sont pleins d'expression et sont traités en détail, montrant de nombreux détails. Entre 1505 et 1507 il s'est de nouveau rendu en Italie,et a pû passer beaucoup de temps à Venise. Le but n'était pas seulement de terminer son apprentissage, mais aussi d'?établir sa réputation internationale. Et après avoir été consacré et reconnu comme un artiste Lprestigieux de retour à Nuremberg et en 1511 il a terminé le projet, lancé il ya 15 ans, de publier «La Grande Passion».

Dans la «Grande Passion» Durero s'applique presque systématiquement au principe du clair-obscur, le contraste entre la lumière et l'ombre qui donne du volume et de la réalité de ses traits, tandis qu'il unifie l'espace et le transforme en quelque chose de cohérent. Durero montre un Christ idéalisée quant à son anatomie. L'artiste fait une impulsion les sept premières illustrations, et les quatre restantes furent terminées en 1510. Les impressions doivent être les premières images d'un livre, mais celui-ci n'a pas été publié de cette façon-là, mais vendus en vrac. Lorsque Durero a terminé la série, elle est apparue comme un livre, avec un frontispice également à main commenté par l'artiste et l'intellectuel Celedonius Benedictus. Le nom de la série devint la «Grande Passion», puisque le thème fût la passion et la mort du Christ, et son format est assez grand et son aspect monumental.

Souhaitez-voux davantage d'information sur cet ouvrage? S'il vous plaît écrivez à: contacto@dbibliofilia.com